Dow's House
UNE MARQUE DE TRADITION
Le nom de James Ramsey Dow est connu depuis le milieu du XIXe siècle, pour sa contribution à la recherche scientifique et la publication d'un important traité sur l'oïdium. Mais c'est la fusion de sa société Dow & Co avec Silva & Cosens en 1877 qui a permis une consolidation et une expansion qui ont fait de la marque une référence jusqu'à aujourd'hui. L'adoption du nom de Dow comme nom de marque découle de la reconnaissance de Dow's & Co, à l'époque, en tant que producteur de Porto Vintage exceptionnel. Déjà en 1868, George A. Warre, dont la famille réputée était impliquée dans le commerce du porto, était devenu partenaire des deux fondateurs de Silva & Cosens. Plus tard, en 1912, George A. Warre, partenaire principal de Dow's, décide de retourner en Angleterre et invite Andrew James Symington à gérer la ferme de Dow's et ses caves à Gaia. L'approche de la famille Symington, est venue plus tard, en 1961, pour devenir propriétaire de cette maison qu'il connaissait et a contribué à préserver le caractère et la tradition des familles créatrices, augmentant la reconnaissance de la marque DOW'S comme l'une des plus importantes et respectables maisons de production de vin de Porto.
SAVIEZ-VOUS QUE...
En 1856, James Ramsay Dow a publié un important traité sur le champignon Oidium - une maladie qui attaque les vignes et qui, à l'époque, ravageait les vignobles du Douro... En 2002, Dow a introduit le nouveau porto "Midnight" pour attirer de nouvelles générations de consommateurs... Dow possède deux des plus belles quintas de la vallée du Douro - Bomfim et Quinta da Senhora de Ribeira - qui produisent les meilleurs vins de Porto Dow's?Dow's Vintage Port 2007, s'est vu attribuer une note parfaite de 100 points par le magazine Wine Spectator dans son édition de mai 2010. Seuls 70 vins ont reçu une note parfaite de la part du magazine, qui a qualifié le porto de "plus grand Dow jamais produit". Le porto Vintage 2011 a reçu une note de 99 points de la part du magazine "Wine Spectator" dans son numéro de février 2013.
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